Guide de la psychoéducatrice ou du psychoéducateur devant témoigner à la Cour

Oui. Il s’agit d’un ordre de la Cour exigeant que la personne se présente devant le tribunal.

Pour en savoir davantage, se référer à la section 3 du guide.

Oui. Si la psychoéducatrice ou le psychoéducateur est à l’emploi, celui-ci ou celle-ci devrait informer son employeur.

Pour en savoir davantage, se référer à la section 3 du guide.

Pour les membres qui exercent en pratique autonome, il serait judicieux de prévoir dès le départ ce genre de situation susceptible de générer une facturation supplémentaire. Ainsi, plutôt que de réclamer ces frais après coup, une mention relative à ces frais éventuels devrait être faite à la cliente ou au client dès le départ, soit au moment de l’établissement du contrat de service, afin de s’assurer d’obtenir un consentement libre et éclairé.

Pour en savoir davantage, se référer à la section 3 du guide.

Oui, il est possible d’apporter des notes personnelles lors du témoignage pour s’assurer d’avoir en mains toutes les informations susceptibles d’être demandées. Cependant, il faut savoir que le fait de s’y référer au cours du témoignage peut engendrer l’obligation de les communiquer à toutes les personnes présentes et ce, même si elles contiennent de l’information confidentielle. C’est la ou le juge qui prendra la décision quant à la transmission de l’information confidentielle aux personnes présentes.

Pour en savoir davantage, se référer à la section 3 du guide.

Dans cette situation, il est important de préserver son indépendance professionnelle en ne prenant pas parti pour l’un ou l’autre parent (client) dans la décision relative à la garde de l’enfant. De plus, il faut demeurer dans le champ d’exercice de la psychoéducation et éviter de se prononcer sur les besoins de garde de l’enfant compte tenu qu’il s’agit d’une activité réservée aux membres d’autres ordres professionnels.

Pour en savoir davantage, se référer à la section 2 du guide.